Tu vivras toujours jeune, et grâce aux Piéride
Gallus, jamais ton front ne connaîtra les rides ;
Leurs mains, leurs belles mains sans trêve tresseront
Le laurier dont la feuille ombragera ton front,
Et, sous le jour divin qui fait mouvoir les ombres,
Tes...
|
À ses cris, à ses bras levés éperdument |
Et la foule grandit plus innombrable encor. |
Si parfois s’inclinait la tête qui sommeille, |
Ce n’est pas, tel qu’Orphée, en héros de l’Amour |
Mais Hercule étonné de cette étrange force, |
Faudra-t-il donc, comme hier, seul aujourd’hui, demain, |
Choisis : canthare, amphore ou rhyton ?... Mais, j’ai mieux :... |
La lune sur le Nil, splendide et ronde, luit. |
Enlace moi plus fort ! que mon désir soit tel, Parjure du serment que je... |