Enfin c’est toi ! Laisse-moi rester dans tes bras ;
Puis tu m’objurgueras tant que tu le voudras ;
Mais laisse-moi pleurer dans ton giron, que sais-je ?
Sur les pieds, vers tes yeux ou mon remords s’allège ;
Mou remords véritable, ou ma honte plutôt,
Ma honte...
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- " Enfin, puisque c'est Sa demeure, |
Enfin ce traître Amour qui semblait désarmé |
Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris ! |
Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé |
Me voici seul enfin, tel que je devais l'être : |
Fortune enfin piteuse à mon tourment, |