Oh ! comme tu vieillis ! tu n’en es pas moins belle ;
Ton front au poids des ans refuse de fléchir.
La rose de ta lèvre est peut-être éternelle,
Puisque pleurs ni baisers, rien n’a pu la flétrir !
Oh ! comme tu vieillis ! Je te retrouve toute,
Comme...
|
Prenez le cas, que, comme je suis vostre |
Un scrupule qui m’a l’air sot comme un péché
|
|
Comme une branche d'aubépine |
Elle s'avance, comme je viens, |
Comme Dieu rayonne aujourd'hui, |
L'onde tremble comme une moire |
Comme elle chante |
Je veux qu'on sçache au vray comme elle estoit armee |