Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace
De regarder vos yeux, rois de ma liberté,
Une ardeur me saisit, je suis tout agité,
Et mille feux ardents en mon coeur prennent place.
Hélas ! pour mon salut que faut-il que je fasse,
Sinon vous éloigner...
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Amour, tais-toi, mais prends ton arc ; |
Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide. |
Esprit royal, qui prends de lumière éternelle |