Tandis qu’au restaurant en face : Aux barreaux verts
On prépare, au salon. de cinquante couverts,
Un de ces longs repas que l’argenteuil arrose
Et qu’orne un grand nougat surmonté d’une rose,
Toute la noce, avec de gros rires grivois,
Monte joyeusement sur les chevaux de bois
Et tourne, au son de l’orgue, en enfilant des bagues ;
Et c’est dans la banlieue, auprès de terrains vagues,
Où le beau-père et les gens mûrs, à quelques pas,
Vont jouer au bouchon et mettent habit bas.
Noces et festins
More from Poet
O poète trop prompt à te laisser charmer, N'importe ! ses yeux seuls ont su faire germer |
J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge. |
Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère |
Songes-tu parfois, bien-aimée, Qu'après cette automne clémente, |
Captif de l'hiver dans ma chambre Ils souffrent bien sous cette pluie ; |