Oh ! soyez-moi cléments, mes espaces fidèles !
Car je sens remuer en moi mes grandes ailes !
Et je subis ici la volupté du vent,
Moi qui sus l’affronter et le braver souvent.
Vent qui fais s’élever en moi mes larges ailes,
Vent qui sait dominer les vagues infidèles,
Viens vers moi ! Porte-moi, comme tu fis souvent,
Toi qui sais dominer la mer immense, ô vent !