Tristesses d’été

Et ce matin pourtant, parce que c’était l’Été,
on avait cru les voir sourire en robe blanche ;
Et pourtant, ce matin, les cloches ont chanté
parce que c’était Dimanche…

Désespoirs ensoleillés d’après-midi déserts,
Poussière… silence… et rayons des gaietés mortes,
Jours de rideaux baissés, tristes comme des hivers !..
.. Et, pleureuses venues.. et lasses.., des notes
Qu’un piano,.. quelque part.., d’oubliée, sanglote…

Collection: 
1904

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