Un ivoire vivant, une neige animée, 
Fait que mon oeil ravi ne s'en peut retirer.
Ô main victorieuse, apprise à bien tirer, 
Que tu m'as de beaux traits la poitrine entamée !
Aux célestes beautés mon âme accoutumée 
Ne trouve objet que toi qui la puisse attirer, 
Et croit qu'elle te peut sans offense adorer, 
Tant elle est de ta glace à toute heure...
