• Enfin c’est toi ! Laisse-moi rester dans tes bras ;
    Puis tu m’objurgueras tant que tu le voudras ;
    Mais laisse-moi pleurer dans ton giron, que sais-je ?
    Sur les pieds, vers tes yeux ou mon remords s’allège ;
    Mou remords véritable, ou ma honte plutôt,
    Ma honte véridique à n’en point perdre un mot,
    Et voici, non pas mon excuse... superflue !
    Voici les...

  • - " Enfin, puisque c'est Sa demeure,
    Le bon Dieu, où est-Y ? "
    - " Chut, me dit-elle : Il est sorti,
    On ne sait à quelle heure. "

    " Et de nous tous le plus calé
    Je dis : Satan lui-même,
    Ne sait en ce désordre extrême
    Où diable Il est allé. "

  • Me voici seul enfin, tel que je devais l'être :
    Les jours sont révolus.
    Ces dévouements couverts que tu faisais paraître
    Ne me surprendront plus.

    Le mal que tu m'as fait et ton affreux délire
    Et ses pièges maudits,
    Depuis longtemps déjà les cordes de la lyre
    Me les avaient prédits.

    Au vent de ton malheur tu n'es en quelque sorte
    Qu'un...