Tu permets au travail de presser ta mamelle,
Patiente nourrice, et, depuis six mille ans,
Tu gardes à tes fils ta richesse éternelle,
Tu livres sans compter les trésors de tes flancs.
Tes bois nous sont ouverts,...
Tu permets au travail de presser ta mamelle, Tes bois nous sont ouverts,... |
C’est moi qui décoche à ta vitre Ferme, en chassant ton rêve sombre, |