Tristesse ! Que ce cœur qui veut tout, ne veut rien…
que le chant de l’oiseau et l’amitié du chien.
Il ne possède rien, même si l’on lui donne :
la fleur d’Avril qu’il tient lui prend le fruit d’Automne.
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Tu écrivais que tu chassais des ramiers Il vit, disait-il, en Caraïbe, dans ses bois. |
Tu rirais d’un pauvre diable qui t’aimerait |
Tu serais nue sur la bruyère humide et rose, |
Tu seras nue dans le salon aux vieilles choses, À tes pieds, je prendrai dans mes bras tes genoux. |
Tu t’ennuies ? — Je prends ma Tu es loin
Les pavés |
Tu viendras lorsque les bruyères au soleil Tu viendras en riant avec ta bouche rouge Tu lui diras que tu l’aimes depuis longtemps, |
« Le rieur alors, d’un ton sage, |
Un jeune homme qui a beaucoup souffert La douce hirondelle poursuit les guêpes |
Un nuage est une barre noire Si tu étais une palombe, J’aplatirais... |