• Quand le Titan roula des voûtes immortelles,
    Foudroyé par le bras du Kronide irrité,
    Les pleurs ne mouillaient point ses farouches prunelles.
    Il se sentait vaincu, mais toujours indompté.

    Sous l’ongle du vautour à ses flancs incrusté,
    Il amassait en lui les douleurs fraternelles,
    Et gardait sur son front, meurtri de grands coups d’ailes,
    L’espoir de...