• VOUS me plaisez avec votre lèvre plissée,
    Pour l’homme et pour l’amour révélant vos dédains ;
    J’aime, quand un aveu sort d’une âme oppressée,
    Le regard froid, tombant de vos sourcils hautains.

    Que m’importe le cœur qui sous vos pieds se brise,
    Pourvu que vos beautés gagnent à ce mépris,
    Et que, comme le feu s’anime sous la brise,
    Votre geste irrité...