Ô Songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain,
Laissant à ton départ mon âme désolée ?
Ô douce vision, las ! où es-tu volée,
Me rendant de tristesse et d'angoisse si plein ?
Hélas ! Somme trompeur, que tu m'es inhumain !
Que n'as-tu plus longtemps, ma paupière...
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Reste tranquille, si soudain |
Rompant soudain le deuil de ces jours pluvieux, |