Sous un souffle qu’emplit l’aube des premiers temps
S’évapore la terre aux verdures nouvelles ;
L’arbre enivré s’incline aux bords des clairs étangs ;
Et les feuilles au ciel battent comme des ailes
Dans l’âme fraîche du printemps.
Sur l’herbe où la rosée a trempé leurs pieds...