Tu m’as persécuté toujours dans ta colère ;
Tu n’as pas pardonné,
O Vénus ! qu’au grand art, à l’étude sévère
Mon cœur se fût donné ;
Et tu m’as mis au flanc la chimère éternelle
De l’Idéal rêvé :
L’amour pur comme l’eau des lacs, profond comme elle,
Que je n’...