Quand le vaisseau, bercé par la mer caressante,
S’arrête aux bords heureux de la terre de Zante
Que les Italiens nomment « fleur du Levant »‚
Le voyageur vers lui voit voler cent nacelles,
Toutes pleines de fleurs humides et nouvelles
Dont l’âme errante flotte et parfume le vent.
On dirait des jardins balancés sur les lames,
Et ce sont des œillets...