L’Orne comme autrefois nous reverrait encore
Ravis de ces pensers que le vulgaire ignore,
Égarer à l’écart nos pas et nos discours ;
Et couchés sur les fleurs, comme étoiles semées,
Rendre en si doux ébat les heures consumées,
Que les soleils nous seraient...
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Beaux et grands bâtiments d’éternelle structure, Beau parc et beaux jardins qui, dans votre clôture, |
Ta douleur, du Perrier, sera donc éternelle ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue |
Nymphe qui jamais ne sommeilles |
Enfin, après les tempêtes, |
Jeanne, tandis que tu fus belle, |
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Louez Dieu par toute la terre, Sa... |
Objet divin des âmes et des yeux, Les monts fameux des vierges que je sers |
N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde ; |