Triste exilé, qu’il te souvienne
Combien l’avenir était beau,
Quand sa main tremblait dans la tienne
Comme un oiseau,
Et combien ton âme était pleine
D’une bonne & douce chaleur,
Quand tu respirais son haleine
Comme une fleur...
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De la rue on entend sa plaintive chanson. |
Triste exilé, qu'il te souvienne |