Donnez la même tombe aux deux êtres aimés :
Qu’ils soient dans l’inconnu côte à côte enfermés !
Ramenez, s’il est loin, celui que l’autre pleure.
Un seul amour demande une seule demeure ;
Et c’est une souffrance à torturer un mort,
De ne point reposer au lit où l’...
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Lorsque s’éveille le Matin Les feuilles sont comme un satin Le... |
Fraîches, d’un rose vif et pâle tour à tour, |
Le meurtrier cosaque avait pour lent supplice Sur la bière on a peint dans l’or le blanc calice ; |
Je vais voir, quand il est Midi, Debucourt est fort applaudi, |
Comme il fut triste et beau le destin de Moïse !
Lui qui sans récompense a servi d’entremise |
Te voilà, rire du Printemps ! Sous les rayons d’or éclatants |
Au milieu des joyaux étincelants et lourds Or ce bouquet, formé de fleurs presque fanées, |
Comme une vierge au front vermeil Dans l’azur, immense verger |
On cause, chez Victor Hugo, Vînt-il de Siam ou du Congo, A d’autres La... |