Heureux l’homme qui voue en sa pensée austère
Un temple intérieur à l’éternel mystère
Et grave comme un prêtre, humble comme un enfant,
Ignore, cherche, espère, et médite, et défend
La porte de son âme aux amours illusoires !
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" Je vous abhorre, ô dieux ! Hélas ! Si jeune encore, " Du détroit de Léandre aux colonnes d'Alcide, |
Mieux vaut la liesse, |
Heureux l'homme, occupé de l'éternel destin, |