Amour dont je chéris la fourrure mouillée
quand remue à ton cou ce minable ornement,
laisse-moi du beau corps que tu meus sagement
peindre la vraie image austère et dépouillée.
Je t'emporte avec moi, masque de porcelaine,
silencieux esprit de la rue en été....
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Les pieds nus de ma poésie |
Ma chambre garde au coeur une vertu glacée ; |
La vie est simple. Je dis |
La Ville est dans ma chambre |
Ô corps tout secoué de prochaines musiques ! |
Grande bête dorée, Amour couleur de femme |
Désireux de tenir l'été dans ma demeure |
Je fis ce masque pour mes frères |
Comme parle et se tait une fille des hommes |