• ¡Qué admirable día! El vasto parque desmaya ante la mirada abrasadora del Sol, como la juventud bajo el dominio del Amor.

    El éxtasis universal de las cosas no se expresa por ruido ninguno; las mismas aguas están como dormidas. Harto diferente de las fiestas humanas, esta es una orgía silenciosa.

    Diríase que una luz siempre en aumento da a las cosas un centelleo cada vez mayor;...

  • Ya del oscuro Citerón las cumbres
    bajaba el sol a trasponer, vertiendo
    ríos de luz sobre los verdes mares,
    cuyos abrazos lánguidos, y besos
    dulces y prolongados, adormecen
    los grupos de las islas del Egeo
    Helios guiaba sus caballos de oro
    hacia el collado de la augusta Delfos,
    y en las rocas de Egina y las abruptas
    cimas sagradas del...

  • Down the long hall she glistens like a star,
    The foam-born mother of Love, transfixed to stone,
    Yet none the less immortal, breathing on.
    Time’s brutal hand hath maimed but could not mar.
    When first the enthralled enchantress from afar
    Dazzled mine eyes, I saw not her alone,
    Serenely poised on her world-worshipped throne,
    As when she...

  • From the Greek by Leigh Hunt
    I DREAMT I saw great Venus by me stand,
    Leading a nodding infant by the hand;
    And that she said to me familiarly—
    “Take Love, and teach him how to play to me.”
    She vanished then. And I, poor fool, must turn
    To teach the boy, as if he wished to learn.
    I taught him all the pastoral songs I knew
    And used...

  • [...] Pour amortir l'orgueil de mille vanités,
    Considérons jadis quels nous avons été,
    Et, faisant à nature une amende honorable,
    Dis, superbe : J'étais vilain au préalable
    Que d'être gentilhomme ; et, puisque de vilain
    Je me suis anobli du jour au lendemain,
    Du jour au lendemain je peux changer de titre
    Et de petit seigneur devenir grand bélître,
    Et en...

  • Je ne croiray jamais que de Venus sortisse
    Un tel germe que toy. Or ta race j'ay sceu,
    Ô enfant sans pitié : Megere t'a conceu,
    Et quelque louve apres t'a baillé pour nourrisse.

    Petit monstre maling, c'est ta vieille malice,
    Qui te tient acroupi ; aucun ne t'a receu
    Des hommes ny des Dieux que tu n'ayes deceu ;
    Et encor ne se trouve aucun qui te...

  • Les fourriers d'Eté sont venus
    Pour appareiller son logis,
    Et ont fait tendre ses tapis,
    De fleurs et verdure tissus.

    En étendant tapis velus,
    De vert herbe par le pays,
    Les fourriers d'Eté sont venus
    Pour appareiller son logis.

    Coeurs d'ennui piéça morfondus,
    Dieu merci, sont sains et jolis ;
    Allez-vous-en, prenez pays,
    Hiver...