La terre immensément s’efface au fond des brumes
Et lentement aussi les frênes lumineux
D’automne et lentement et longuement les nœuds
Des ruisselets dans l’herbe et leurs bulles d’écumes ;
Lointainement encor des sons pauvres et las.
Voix par des voix lasses au fond des soirs hélées ;
Et les chansons et les marches, par les vallées,
Des mendiants qui...