Déjà mon cœur me quitte, et la mort me réclame,
Et je ne la crains pas : pourquoi me secourir ?
Vers le Ciel qui l’attend laisse voler mon âme.
Oh ! ma sœur, laisse-moi mourir !
Dès longtemps, tu le sais, ma vie est douloureuse ;
Souvent sur mes chagrins je te vis t’attendrir ;
Va, ne me retiens pas pour toi, sois généreuse.
Oh ! ma sœur, laisse-moi...