Jeune homme au cœur léger., ne touche point la lyre,
Va demander ta joie aux rêves d’ici-bas.
La pensée est un glaive, et sa pointe déchire
La main de l’imprudent qui ne la connaît pas.
Au temps que Jupiter, de la voûte éthérée
Descendait, à l’odeur de l’hécatombe en feu,
Quelqu’un vit, sur l’autel, dans la coupe dorée,
Un reste de nectar...