Dans son jardin la sultane se baigne,
Elle a quitté son dernier vêtement ;
Et délivrés des morsures du peigne,
Ses grands cheveux baisent son dos charmant.
Par son vitrail le sultan la regarde,
Et caressant sa barbe avec sa main,
Il dit : « L’eunuque en sa tour fait la garde,
Et nul, hors moi, ne la voit dans son bain.
« — Moi, je la vois, lui...