L’Arré s’est recueilli sous son manteau de givre,
Mais je lis dans son cœur comme dans un vrai livre,
Oui ! je sais qu’il médite à la chanson du vent,
Sur le bon temps passé puis sur le temps présent.
La blanche neige ouatant les garennes austères,
Harmonise à souhait les horizons sévères,
Artiste résolu de tout repeindre, au gré
Fantaisiste et...