J’entends toujours les grands Sanctus de ma jeunesse
Qu’à Pâques ou Noël on chantait à la messe.
Je les entends en moi, comme des voix d’absents,
Et mon âme se meurt du regret de l’encens.
Mon souvenir repeint les anciennes verrières
Et cherche à renouer l’écheveau des prières.
Sanctus ! Sanctus Deus ! et du haut du jubé
Le chant des soprani...