Vous qui sans corps, Démons, errez en France,
Laissez ici reposer doucement
Vos membres froids, et chez vous maintenant
Courez pour voir le deuil de votre absence.
Allez-y donc, invisibles, je pense
Que vous verrez celui-ci, son enfant,
L'autre sa femme,...
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Il estoit bien seant que ce corps veritable, |
Comme un corps féminin que la mère Nature |
Dans l'enfer de son corps mon esprit attaché |