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Jules JANIN
Là dans ce sentier creux, promenoir solitaire
De mon clandestin mal,
Je viens tout souffreteux, et je me couche à terre
Comme...
— Pauvre bougre !
Jules JANIN
Là dans ce sentier creux, promenoir solitaire |
Vous avez pris pitié de sa longue douleur ! |
Roi du monde et du jour, guerrier aux cheveux d'or, |
Je t'adore, Soleil ! ô toi dont la lumière, |
À André Borel. |