C’était alors, quand les chaleurs passées,
Le sale Automne aux cuves va foulant,
Le raisin gras dessous le pied coulant,
Que mes douleurs furent encommencées.
Le paisan bat ses gerbes amassées,
Et aux caveaux ses bouillants muids roulant,
...
C’était alors, quand les chaleurs passées, Le paisan bat ses gerbes amassées, |
Or dis-je bien, mon espérance est morte. Tout me court sus, rien ne me réconforte, |