Deux estions et n’avions qu’ung cœur.
Le Lay de maistre Ytier Marchant.
Hélas ! Il n’estoit pas saison
Si tôt de son département.
La Complainte de Valentin Granson.
D’elle que reste-t-il aujourd’hui ? Ce qui reste,
Au réveil d’...
Deux estions et n’avions qu’ung cœur. Hélas ! Il n’estoit pas saison
D’elle que reste-t-il aujourd’hui ? Ce qui reste, |
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Il creusait dans la mer son sillage d'écume, Une vague enjouée, en poursuivant la poupe, |
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Le soleil s’éveillait sous les nuages roses, |
Le ciel, aux lueurs apaisées, Tout le jour, le long des sentiers, |
Ne reviendrez-vous plus, jours de bonheur paisible !
Adieu ! L’été s’envole, et l’hiver nous rappelle. |
Le rythme argentin de ta voix Mais les bois n’ont pas de frissons, |
L’outil dur des graveurs dans la main inspirée, |
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