Le jour fuit ; de l’airain les lugubres accents
Rappellent au bercail les troupeaux mugissants ;
Le laboureur lassé regagne sa chaumière ;
Du soleil expirant la tremblante lumière
Délaisse par degrés les monts silencieux ;...
|
Le monde est lumineux, la brise est fraîche et pure, Sous ton œuvre admirable et ces rameaux d’été |
Clochers lointains ! antiques Tours ! |
Voilà que la tempête avance – avance – avance ; Vite sœurs au métier, des fils... |