Puisqu’ainsi sont mes dures destinées,
J’en soûlerai, si je puis, mon souci.
Si j’ai du mal, elle le veut aussi.
J’accomplirai mes peines ordonnées
Nymphes des bois qui avez étonnées,
De mes douleurs, je crois quelque merci,
Qu’en pensez-...
Puisqu’ainsi sont mes dures destinées, Nymphes des bois qui avez étonnées, |
Ce sont tes yeux tranchants qui me font le courage. |
Passants, vous trouvez à redire |
Que mon fils ait perdu sa dépouille mortelle, Mais que de deux marauds la surprise infidèle |
Il ne faut qu’avec le visage |
L’art, aussi bien que la nature, |
C'est bien avoir des yeux de voir ce qui s'adresse, |
Va par les carrefours des places desolees Va sous les fondemens des colomnes moulees, |
« Enfin l'ire du ciel et sa fatale envie, « Henri, ce grand Henri, que les soins de nature |
Veu que tous estoint mors un seul est mort pour tous Il fust né d’une Vierge, & se soumit pour tous |