À MADAME RIMSKI KORSAKOW
Est-ce un rêve ? Le harem s’ouvre,
Bagdad se transporte à Paris,
Un monde nouveau se découvre
Et brille à mes regards surpris.
Pardonnez mon luxe barbare,
Bariolé d’argent et d’or ;
J’ignorais tout, un maître...
À MADAME RIMSKI KORSAKOW
Est-ce un rêve ? Le harem s’ouvre, Pardonnez mon luxe barbare, |
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Das drängt und stösst, das ruscht und klappert Dans la simplicité de mon cœur enfantin, |
« Prends ma main. Voyageur, et montons sur la tour. — |
IV O ville, tu feras agenouiller l'histoire. |
II Pour la sinistre nuit l'aurore est un scandale ; |
Sous les quatre-vingts rois et les trois Républiques, |
III Mais où donc ira-t-on dans l'horreur ? et jusqu'où ? Ah ! ce meurtre effrayant est un meurtre imbécile ! |
Qui donc a dit que la chanson était morte, morte avec la goguette qui fut son asile si longtemps ? Comme si la chanson, « cette forme ailée et charmante de la pensée », selon l'expression de Victor Hugo, pouvait mourir dans notre France où le couplet a toujours été le gracieux frère de la... |