O frère, ô jeune ami, dernier fils de ma mère,
O toi qui devanças, dans le val regretté,
Cette enfant, notre sœur, une rose éphémère,
Qui ne vécut qu’un jour d’été ;
Que fais-tu, cher absent, ô mon frère ! à cette heure
Où mon cœur et mes yeux se retournent vers toi ?
Ta pensée, évoquant les beaux jours que je pleure,
Revole-...