Puisqu’un irrésistible appeau
Attire à toi toute mon âme,
Et que toute ma chair proclame
Le magnétisme de ta peau :
Irrite, mais sans le proscrire,
Le désir qui me ronge, et puis
Viens emparadiser mes nuits,
Ensorceleuse au froid sourire.
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Je te mets en capilotade Je t’en préviens, jeune pintade, Je te... |
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À quoi pense la Nuit, lorsque le ver luisant |
Barde assoiffé de solitude ... |
Puis, j’adore ton cœur où, comme des linottes, |
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Pendue au bord des cieux pleins d’ombres et d’alarmes, |
Une pâle veilleuse éclairait tristement |