Nous aimons à rôder sur la place Navone.
Ah ! le pied n’y bat point l’asphalte monotone,
Mais un rude pavé, houleux comme une mer.
Des maraîchers y font leurs tentes tout l’hiver,
Et les enfants, l’été, s’ébattent dans l’eau bleue,
Sous le triton qui tient un...
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Elle n’a pas perdu de son cœur un pistil, |
Toi qui m’entends parler sans frayeur de la mort, |
Le dimanche, au Borgo, les femmes & les filles, |
Je n’aime pas les maisons neuves, Les lézardes de leur vieux plâtre |