O poète, pourquoi punir par ton silence
Tant de cœurs malheureux à ta voix suspendus !
D’un pouvoir corrupteur châtiant l’insolence,
Rends au peuple indigné tes chants qui lui sont dus !
Parmi ses défenseurs la Liberté te nomme.
Viens de ses ennemis déjouer...
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La Liberté chez nous se réfugie ; |
Les noms qui passent à la postérité |
Ode |