Lorsque s’éveille le Matin
Au Luxembourg encor désert,
En chantant dans le gazon vert,
Les oiselets font leur festin.
Les feuilles sont comme un satin
Des larmes de la nuit couvert,
Lorsque s’éveille le Matin
Au Luxembourg encor désert.
Le...
Lorsque s’éveille le Matin Les feuilles sont comme un satin Le... |
Je vais voir, quand il est Midi, Debucourt est fort applaudi, |
Comme il fut triste et beau le destin de Moïse !
Lui qui sans récompense a servi d’entremise |
Te voilà, rire du Printemps ! Sous les rayons d’or éclatants |
On cause, chez Victor Hugo, Vînt-il de Siam ou du Congo, A d’autres La... |
Miss Ellen, versez-moi le Thé J’aime la folle cruauté Là,... |
Dans la pourpre de ce vieux Vin Comme dans l’œil d’un vieux Sylvain |
Errant dans le désert le Bédouin seul est libre ; Là, le Turc fatidique a perdu l’équilibre |
Deux épis se montraient naguère |
La cataracte au ciel lance sa blanche écume, Groupe effrayant (en bronze on le dirait coulé) |