J'ai lu ta vive Odyssée
Cadencée,
J'ai lu tes sonnets aussi,
Dieu merci !
Pour toi seul l'aimable Muse,
Qui t'amuse,
Réserve encor des chansons
Aux doux sons.
Par le faux goût exilée
Et voilée,
Elle va dans ton réduit...
J'ai lu ta vive Odyssée Pour toi seul l'aimable Muse, Par le faux goût exilée |
Voltaire, ombre auguste et suprême, O Corisandres ! me disais-je, |
Je méditais, courbé sur un volume antique, |