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    Le temps n’a plus d’aîles pour moi ;
    Ce vieillard, à pas lents s’avance :
    Mes jours s’envoloient près de toi ;
    Ils se traînent dans ton absence.
    Le soleil ralentit son cours :
    Je vois sans cesse la journée,
    Où tu partis environnée
    Par le cortège des amours.
    Les uns, veillant à la portière,
    Baissoient les stors officieux,
    Pour...