Quand je m’endormirai sous la splendeur des astres,
Mes strophes flamboieront auprès de mon cercueil ;
Les torchères de fer de mon farouche orgueil
Jetteront dans le vent la pourpre des désastres ;
Et les aigles du Verbe, apaisant leur essor,
Grouperont leurs faisceaux en un vol de victoire,
Pendant que se tairont, autour de ma mémoire,
Les trompettes...