Ceux-là dont les manteaux ont des plis de linceuls
Savent la volupté divine d’être seuls.
Leur sagesse a pitié de l’ivresse des couples,
De l’étreinte des mains, des pas aux rythmes souples.
Ceux-là dont les manteaux ont des plis de linceuls Leur sagesse a pitié de l’ivresse des couples, |
Quand il s’enferme seul, les longs soirs de novembre, |
Ô Muses, accourez ; solitaires divines, |