Quoi ! le libérateur qui par degrés desserre
La double chaîne noire, ignorance et misère,
Le balayeur qui jette au vent le préjugé,
Quoi ! l'immense marcheur, jamais découragé,
Le Progrès, qui de flamme éblouit le vulgaire,
Détrône l'échafaud et musèle la...
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XXXVII
J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées. |
Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse, |
Ô toi d'où me vient ma pensée, |
La nature est pleine d'amour, |
Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir |
N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente |