Paul Verlaine Fecit
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui...
Paul Verlaine Fecit Obscur et froncé comme un œillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse |
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Il faut finir mes jours en l’amour d’Uranie ! Dès longtemps je connais sa rigueur infinie ! |
La Gueule parle : « L’or, et puis encore l’or,
La Panse dit : « À moi la chute du trésor ! |
Quand viendra ce jour là, que ton nom au vrai passe Malgré moi je t’écris, malgré moi je t’... |
DANS cent lettres d’amour, Lisette et la Marquise O Poète, tu crois que la gloire est conquise.... |
Où le peuple abruti sommeille, fataliste, |
J’ai voulu des jardins pleins de roses fleuries, Car, roses et muguets, tes lèvres et tes dents |
Dans ces cycles, si grands que l’âme s’en effraie, Le monde contingent où notre âme se fraie |
Ô entre tes beautés, que ta constance est belle. Or ne charge donc rien de ta sœur infidèle, |