Ah ! ne le croyez pas que par moments j’oublie
Et mon cœur, et l'amour, extase, poésie,
Vous surtout, belle et douce à mes rêves secrets,
Vous dont les purs regards font les miens indiscrets.
Sans doute c'est plaisir d'oublier à son aise
La tenace douleur qui déchire ou qui pèse,
Les ennuis au fiel noir, l'argent que l'on nous doit,
L'avenir et...
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Pourquoi si follement croyez-vous à un verre,
Voulant voir les beautés que vous avez des cieux ?
Mirez-vous dessus moi pour les connaître mieux,
Et voyez de quels traits votre bel oeil m'enferre.
Un vieux chêne ou un pin renversés contre terre
Montrent combien le vent est grand et furieux,
Aussi vous connaîtrez le pouvoir de vos yeux,
Voyant par...