Rodrigue dans le bain vit la Florinde un soir.
Elle jouait parmi ses compagnes charmées,
Avec sa jarretière, aux fermoirs de camées,
Mesurant ses appas, bien blancs quoiqu’il fît noir.
Pour ces appas l’Afrique envoya ses armées ;...
Rodrigue dans le bain vit la Florinde un soir. Pour ces appas l’Afrique envoya ses armées ;... |
Lorsque la froide pluie enfin s’en est allée À Romainville, — ou bien dans les prés Saint-Gervais, |
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Quel saint transport m’agite et quel est mon délire ! |
L’épouseur de famille |
Captive et peut-être oubliée, Douce et pâle consolatrice, |
Un bel esclave à peau d’ébène, Comme elle, il habitait le Caire ; |
Posé comme un défi tout près d’une montagne, |
Pour vous, au jour de l’an, je rêvais quelque étrenne, Que peut le ver rampant pour l’étoile sereine, |
Chez un sculpteur, moulée en plâtre, Sous le baiser neigeux saisie |