•  
    Malheureux est celui qui plaça dans la femme
    Son culte, espérant d’elle et constance et retour.
    Plus malheureux le cœur où ne vit nulle flamme.
    Mais cent fois malheureuse, hélas ! est la pauvre âme
    Qui, n’aimant plus, ne peut oublier son amour.

    Qu’importent désormais les terrestres délices
    A qui d’un divin rêve a respiré la fleur !
    Son flanc...